Galápagos: des plantes autochtones cataloguées à tort d'étrangères
Six espèces de plantes des îles Galápagos que l'on pensait être arrivées dans le sillage des Européens il y a 500 ans sont en fait présentes sur place depuis des milliers d'années indiquent des chercheurs.
![Galapagosdes plantes autochtones cataloguées à tort d'étrangeres Galapagos-carte](https://2img.net/h/techno-science.net/illustration/Autres/Amerique/galapagos-carte.jpg)
L'étude des pollens et plantes fossiles préservés dans des sédiments effectuée par Jacqueline van Leeuwen, de l'Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche),...) de Berne, et ses collègues révèle la distribution des espèces sur les îles par le passé. Ils ont trouvé que six espèces, toutes précédemment identifiées comme non originaires des lieux par au moins l'un des services botaniques des îles Galápagos, existent depuis des milliers d'années avant la colonisation humaine.
L'élimination des espèces non autochtones est devenue une priorité de la protection de la nature aux Galápagos et des millions de dollars sont dépensés chaque année (Une année est une unité de temps exprimant la durée entre deux occurrences d'un évènement lié à la révolution de la...) pour maîtriser les espèces invasives. Les résultats publiés dans cet article Brevium soulignent le risque de mal cataloguer des espèces et la gestion inappropriée des plantes autochtones.
Six espèces de plantes des îles Galápagos que l'on pensait être arrivées dans le sillage des Européens il y a 500 ans sont en fait présentes sur place depuis des milliers d'années indiquent des chercheurs.
![Galapagosdes plantes autochtones cataloguées à tort d'étrangeres Galapagos-carte](https://2img.net/h/techno-science.net/illustration/Autres/Amerique/galapagos-carte.jpg)
L'étude des pollens et plantes fossiles préservés dans des sédiments effectuée par Jacqueline van Leeuwen, de l'Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche),...) de Berne, et ses collègues révèle la distribution des espèces sur les îles par le passé. Ils ont trouvé que six espèces, toutes précédemment identifiées comme non originaires des lieux par au moins l'un des services botaniques des îles Galápagos, existent depuis des milliers d'années avant la colonisation humaine.
L'élimination des espèces non autochtones est devenue une priorité de la protection de la nature aux Galápagos et des millions de dollars sont dépensés chaque année (Une année est une unité de temps exprimant la durée entre deux occurrences d'un évènement lié à la révolution de la...) pour maîtriser les espèces invasives. Les résultats publiés dans cet article Brevium soulignent le risque de mal cataloguer des espèces et la gestion inappropriée des plantes autochtones.