Des milliers d’étudiants livrés à eux-mêmes
Inscriptions universitaires : la pagaille
Les nouveaux bacheliers ne s’attendaient pas à ce que leur succès vire au cauchemar. Ils n’ont même pas eu le temps de savourer leur victoire que le ministère de l’Enseignement supérieur les assomme par des mesures iniques et leur impose des conditions difficiles d’inscription.
Hier, à l’université de Bouzaréah, l’ambiance donnait la chair de poule : des centaines de bacheliers, venus de plusieurs régions du pays, faisaient la chaîne, sous un soleil de plomb, pour pouvoir accéder aux bureaux d’inscription. Le département de Harraoubia avait, pourtant, eu recours aux inscriptions via Internet de tous les bacheliers. Mais la technologie n’est pas un jouet et beaucoup de bacheliers l’ont appris à leurs dépens en constatant que d’autres malins se sont amusés à les inscrire à leur insu. De nombreux jeunes bacheliers ont été surpris, dès le premier jour du lancement des inscriptions définitives, de découvrir que leurs fiches de vœux ont été égarées à cause d'une erreur informatique, semant ainsi la confusion parmi les futurs étudiants et leurs familles. Des milliers de fiches de vœux ne sont jamais arrivées à l'Institut national de l'informatique (INI) pour le traitement. Cela étant, et en dehors de quelques plaisantins mal inspirés, le recours systématique à Internet pour l’inscription de bacheliers s’est soldé par un cuisant échec que les bacheliers et leurs parents sont en train de payer présentement.
Inscriptions universitaires : la pagaille
Les nouveaux bacheliers ne s’attendaient pas à ce que leur succès vire au cauchemar. Ils n’ont même pas eu le temps de savourer leur victoire que le ministère de l’Enseignement supérieur les assomme par des mesures iniques et leur impose des conditions difficiles d’inscription.
Hier, à l’université de Bouzaréah, l’ambiance donnait la chair de poule : des centaines de bacheliers, venus de plusieurs régions du pays, faisaient la chaîne, sous un soleil de plomb, pour pouvoir accéder aux bureaux d’inscription. Le département de Harraoubia avait, pourtant, eu recours aux inscriptions via Internet de tous les bacheliers. Mais la technologie n’est pas un jouet et beaucoup de bacheliers l’ont appris à leurs dépens en constatant que d’autres malins se sont amusés à les inscrire à leur insu. De nombreux jeunes bacheliers ont été surpris, dès le premier jour du lancement des inscriptions définitives, de découvrir que leurs fiches de vœux ont été égarées à cause d'une erreur informatique, semant ainsi la confusion parmi les futurs étudiants et leurs familles. Des milliers de fiches de vœux ne sont jamais arrivées à l'Institut national de l'informatique (INI) pour le traitement. Cela étant, et en dehors de quelques plaisantins mal inspirés, le recours systématique à Internet pour l’inscription de bacheliers s’est soldé par un cuisant échec que les bacheliers et leurs parents sont en train de payer présentement.